SUP avec un enfant: Une façon SUPerNATURAL d’introduire nos enfants à la pagaie! by Patrick Levesque | Jul 22, 2014 | Whitewater Une vague de chaleur frappe le Québec. Zachary, mon fils de 2 ans, pointe les kayaks en disant ” Papa, Ayak, Ayak, Ayak”. Voilà 2 jours, un vent nord-est soufflait sur lac Saint-Jean ce qui faisait onduler la surface avec des petites vagues de 30cm. Je l’avais donc amener rapidement après l’ouvrage pour un petit trempage de pagaie sur le lac et s’amuser a voir les vagues casser sur la pointe avant de mon Karma. Regard incertain, mais le sourire viendra! De nouveau aujourd’hui, il veut sortir en kayak avec moi. Cependant, je veux vraiment faire plus que de l’avoir assis devant moi a joué avec la pagaie. Surtout qu’aujourd’hui, c’est le calme plat. Pour ceux qui ont déjà pagayé avec une jeune enfant entre ses jambes, vous allez probablement être d’accord avec moi que c’est plaisant, mais pas de là à en faire une récurrence quotidienne. Après un certain temps, on se lasse (pas eux) de tourner en rond parce qu’il joue avec la pagaie ou bien vous n’essayez pas tous les moyens possibles qu’il ne saisisse pas la pagaie alors que vous cherchez à vous déplacer un peu. Et avec un enfant de 2 ans, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il réussisse à naviguer avec un kayak et une pagaie hors gabarit. De toute façon, mon objectif actuel avec lui, n’est pas de lui enseigner l’efficacité d’un coup de pagaie, mais de partager mon amour pour les sports de pagaie et surtout passer du temps qualité avec lui sur l’eau. Et voilà qu’arrive l’idée du SUP. Aujourd’hui, avons pris le SUPerNATURAL sur le lac. De cette façon, nous pouvons jouer debout, faire la bascule sur le côté, sauter dans l’eau, rembarquer, regarder les oiseaux, pagayer en kayak/en canot/en sup et même pôler avec le fond à certains endroits. Si jamais nous tombons, rarement la planche va se renverser, on s’en tire avec un fou rire et on remonter en selle. À la recherche des Herons Il y en a un par là! Zachary a adoré son expérience. Il a été capable de sauter dans le lac, s’immerger tout en tenant la planche alors que papa va très vite (selon ses mots, pas les miens), prendre un peu de vague et surtout avoir beaucoup de plaisir à jouer ensemble. Eh hop, dans la flotte! Tout ça, après le boulot, avant le souper. Cette nuit là, rafraichit, il n’a demandé qu’une seule histoire plutôt que l’habituel “encore une, papa”. Une dernière pour le retour _____________ Patrick Levesque